Pour Humanitas, un lien strict entre une prise en charge efficace et une activité clinique de haute qualité est obligatoire. Humanitas a toujours été la première polyclinique en Italie, et parmi les rares en Europe, à avoir été certifiée polyclinique par la Commission conjointe (Joint Commission International). Cette reconnaissance d’excellence a été confirmée et renouvelée à cinq reprises depuis 2002 et a nécessité le respect de plus de 1 300 normes.
Considéré par l’Université de Harvard comme l’un des quatre hôpitaux les plus innovants au monde, Humanitas est un exemple d’organisation qui combine qualité des soins, durabilité économique, développement et responsabilité sociale.
« Les hôpitaux devraient se structurer de façon à exceller dans trois tâches : appliquer les meilleures pratiques établies scientifiquement pour traiter des maladies bien comprises, utiliser une approche par essais et erreurs pour traiter des pathologies complexes ou mal comprises et saisir et appliquer les leçons tirées des soins quotidiens. Intermountain Healthcare, Cleveland Clinic et Virginia Mason aux États-Unis, ainsi que l’Istituto Clinico Humanitas en Italie, font partie des hôpitaux qui font de grands progrès dans l’amélioration des résultats pour les patients et dans la réduction des déchets. Bien que les obstacles au progrès soient nombreux, ces hôpitaux prouvent que le changement est possible… »
« Ces hôpitaux comprennent que les connaissances médicales sont maintenant trop nombreuses pour être mémorisées dans la tête des médecins et doivent plutôt être intégrées aux protocoles et aux routines. En d’autres termes, ils se rendent compte que la guérison des maladies est devenue une responsabilité organisationnelle. Ils déploient consciemment leurs ressources pour obtenir les meilleurs résultats possibles pour les patients, recueillent et utilisent des données pour améliorer sans cesse leur rendement et traitent la pratique quotidienne de la médecine comme une source de compréhension et d’innovation… ».
(Prof. R. Bohmer, Harvard Business Review, 30 avril 2010, page 38)